En ce moment, avec la crise du logement, le gouvernement doit trouver un consensus avec la société pour répondre à deux besoins fondamentaux : contrer les changements climatiques et diminuer les impacts d'une pénurie de logements, ce qui est, selon moi, un match nul pour répondre à l'article (<<Crise du logement ou crise climatique, faudra-t-il choisir?>> publié le 15 octobre sur Radio-Canada).
Selon le rapport de pénurie du logement au Canada <<3,5 millions de logements supplémentaires seront nécessaires pour restaurer l’abordabilité d’ici 2030>>, ce qui est énorme. De plus, selon un article du ministère de l'économie, l'innovation et de l'énergie du Canada publié le 16 août 2024: <<La chaîne de valeur du bâtiment est responsable de 37 % des émissions totales de carbone à l’échelle mondiale>>. Si nous ne faisons rien, nous allons finir par détruire la planète. (un appel aux faits)
Cependant une solution s'offre à nous. Il s'agit de bâtir des logements <<vert>>. Le gouvernement fédéral a mis en oeuvre un plan visant à construire 3.87 millions de nouveaux logements d’ici 2031. Ces nouveaux logements doivent être adaptés pour répondre aux enjeux climatiques. <<Le Canada ne peut pas atteindre simultanément ses objectifs en matière de réduction des émissions et de construction de nouveaux logements, à moins de modifier radicalement les pratiques de construction>> selon Shoshanna Saxe, titulaire d'une chaire de recherche du Canada sur les infrastructures durables. Ce serait un bon début, mais il faudrait aussi modifier notre façon d’utiliser les matériaux de construction dans le but d'optimiser l'entièreté des ressources offertes par l'environnement. Les bâtiments <<verts>> pourraient devenir une solution parmi d'autres, car cela ne sera assurément pas suffisant pour revirer la situation climatique en notre avantage. (appel au fait et argument d'autorité)
Wendy Rocheleau, 21 ans et vivant avec un trouble du spectre autistique.
Étudiante en Tremplin DEC au Cégep régional de Lanaudière à Joliette